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Religions & Langues
LANGUES

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'Inde compte 860 langues. 

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Les langues de l'Inde se répartissent selon deux familles principales :

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Le hindi est la langue officielle dans les États et territoires suivants : 

Îles Andaman et NicobarArunachal, PradeshBiharChandigarh,ChhattisgarhDelhiHaryanaHimachal PradeshJharkhandMadhya PradeshRajasthanUttar Pradesh et Uttarakhand.

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Depuis la constitution de 1950, l'anglais est resté une langue officielle de l'Inde à ce jour.

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Comme la carte le présente, l'Indhi, le Bengali, le Telougou ou Marathi sont les langues plus plus courantes sur tout le territoire.

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Conseils

Une grande majorité des indiens hochent d'une manière très particulière la tête pour exprimer soit "peut-être/je ne sais pas" ou bien "oui". Regardez la video d'explication sur la droite. ;) C'est à la fois surprenant et drôle de se retrouver dans une situation â€‹où personne ne se comprend du fait d'un signe non verbal inconnu en occident : 

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Pour connaitre quelques mots en Hindi pour s'adresser aux gens : 

« Namasté » – « Bonjour » 

« Kaysé ho ? »– Comment ça va ? 
« Tikké »– « Bien »

Bahut shukriyaa - Merci beaucoup 

« Apka nam kya é ? » - « Comment tu t’appelles ? »
« Méra nam Coralie hé » - « Je m'appelle Coralie »

« aatcha » - « Je vais bien / Ha bon / OK »

« aspatal » - « hospital »

« Basse » - « Stop ! »

Tora tora » - « un petit petit peu »

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Explication ludique en 3 minutes ! 
Religions

L’hindouisme est la religion principale du pays. Elle est pratiquée par environ 80,5% de la population. Cette religion a pour caractéristique de n’avoir ni prophète, ni dogme centraux. Les hindous ont par contre des centaines de dieux et déesses (on dit même qu’il y en aurait 30 millions !) qu’ils vénèrent selon leurs envies.

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Les trois principaux dieux, qui forment la trinité hindou sont Brahma (la création), Vishnu (la préservation) et Shiva (la destruction). Pour les reconnaître, petit moyen memo-technique : Brahma a plusieurs têtes, Vishnu a 4 bras, et Shiva est bleu et porte un serpent autour du cou ! Enfin bon, cette technique a des limites car ces caractéristiques correspondent également à d’autres dieux, un vrai casse tête !

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Chaque divinité est reliée à une thématique précise : Hanuman pour la force, Lakshmi pour l’argent, Saraswati pour l’éducation et les arts… Elles sont également liées à unanimal qui leur sert de… moyen de transport. Ainsi, Ganesh se déplace sur une souri, Shiva sur une vache ou encore Hanuman sur un singe !

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L’islam est la seconde religion en Inde. Elle représente 13,4% de la population indienne. L’arrivée de l’islam remonte principalement aux invasions militaires qui ont donné naissance à l’Empire Moghols en Inde du Nord au XVI et XVII siècles.

Les tensions et conflits communautaires entre hindous et musulmans sont nombreux.

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Le christianisme concerne 2,3% de la population. On trouve en Inde certaines des plus anciennes communautés chrétiennes au monde (cf.les chrétiens de Saint-Thomas). Il n’est donc pas rare (ce qui nous a surpris au départ) de croiser au coin d’une rue des écoles « Saint Joseph », des églises au design « indian style » ou encore des YMCA Guest House (Young Men’s Christian Association).

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Le sikhisme est la religion de 1,9% des indiens. Les sikhs vivent principalement auPunjab (région au nord de l’Inde). Ils sont reconnaissables par plusieurs symboles comme par exemple la barbe et les cheveux jamais coupés (sainteté), le sabre ou l’épée (pouvoir et dignité : Et nous qui nous demandions pourquoi ils se baladaient tous avec un couteau en ceinture !), un bracelet en acier (courage)… ! Les hommes et les enfants de cette confession portent également des turbans caractéristiques.

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Le bouddhisme concerne 0,8% de la population indienne, majoritairement dans le Nord, prés de la frontière avec le Népal. De notre côté, nous n’avons pas été en relation avec cette religion durant notre séjour sur place. Cette religion, née en Inde, a quasiment disparu du pays au début du XXème siècle et  a refait légèrement surface vers 1950 avec l’arrivée de réfugiés tibétains et suite aux refus du système des castes. 

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