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LIVRES

Avoir un livre a portée de main lorsqu'on voyage est essentiel... Il nous aide à vaincre notre solitude, à nous évader, à nous documenter sur un lieu, une culture, une histoire, ou encore, à mieux comprendre qui nous sommes... Quelques fois nous avons du mal a trouver Le livre en rapport avec le type de voyage que nous réalisons... En voici donc quelques recommandations !

Ce qu'il advint au sauvage blanc de François Garde

 

Au milieu du XIXe siècle, Narcisse Pelletier, un jeune matelot français, est abandonné sur une plage d'Australie.Dix-sept ans plus tard, un navire anglais le retrouve par hasard : il vit nu, tatoué, sait chasser et pêcher à la manière de la tribu qui l'a recueilli.Il a perdu l'usage de la langue française et oublié son nom.Que s'est-il passé pendant ces dix-sept années ?C'est l'énigme à laquelle se heurte Octave de Vallombrun, l'homme providentiel qui recueille à Sydney celui qu'on surnomme désormais le "sauvage blanc".Inspiré d'une histoire vraie, Ce qu'il advint du sauvage blanc a été récompensé par huit prix littéraires, dont le Goncourt du premier roman 2012.

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Edition Gallimard, 380 pages, 7,50 

Off the Road de Robert Klanten, Sven Ehmann, Maximilian Funk

 

Loin de la déco ? Pas tellement si vous envisagez notre sujet favori comme un art de vivre qui se prolonge dans nos déplacements, nos vacances, notre manière de partir explorer des paysages. Off the Road srute, comme son nom l'indique, ceux qui voyagent hors des sentiers battus. Ces nouveaux aventuriers distillent leur mode de vie d'explorateurs contemporains.

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Accompagnées d'images d'une incroyable qualité, plusieurs histoires autour du monde se succèdent : on y voit leurs installations pour dormir, les objets qui les accompagnent,l'esprit de l'aventure. Et cela vous donnera forcément envie de transformer votre maison de vacances en cabane à la déco bohème.

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256 pages, 35 €, Editions Gestalten

Shantaram de Gregory David Roberts (traduit par Pierre Guglielmina)

 

Australie, 1980. Lin s’évade de prison, et atterrit sous une fausse identité dans les rues fourmillantes de Bombay, où il espère disparaître. Il pénètre peu à peu le monde secret de la « ville dorée », où se côtoient prostituées et religieux, soldats et acteurs, mendiants et gangsters. Fugitif sans famille, Lin cherche inlassablement à donner un sens à sa vie, d’abord en improvisant un dispensaire dans un bidonville, puis à l’échec de celui-ci en faisant ses premières armes dans la mafia de Bombay.

 

Cette quête le conduira jusqu’à la guerre, à la prison et ses tortures, et à une série de trahisons sanglantes. Puis à la rédemption, enfin. Mais les clés du destin de Lin se trouvent entre les mains de son mentor, Khader Khan, parrain de la mafia, à la fois criminel, saint et philosophe, et surtout de Karla, femme mystérieuse, belle et dangereuse dont Lin tombe follement amoureux.

 

Ce roman épique nous plonge dans une Inde fascinante et marque l’entrée en littérature d’une voix extraordinaire.

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Edition Jailu, 936 pages, 24 

Le tigre Blanc de Aravind Adiga (traduit par Annick Le Goyat )

 

 

Aravind Adiga est un jeune écrivain de l’Inde, qui s’est fait remarquer dès la publication de son premier roman, The White Tiger, en 2008. Il a remporté le Booker Prize, équivalent anglais du prix Goncourt.

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Le tigre blanc du titre est Balram Halwai, un enfant à l’intelligence aussi rare que ce félin exceptionnel. Il vit à Bihar, village misérable où il n’a pu terminer ses études secondaires. Employé dans une de ces innombrables petites échoppes de thé qui essaiment le long des routes en Inde, il doit son salut à l’un de ces nouveaux riches qui lui propose de devenir son chauffeur à Delhi. Balram Halwai est le narrateur du Tigre blanc et il le fait en écrivant une longue lettre à Wen Jiabao, Premier ministre de la Chine, qui se prépare à visiter l’Inde.

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Aravind Adiga décrit ce monde de l’Entreprise en juxtaposant diverses scènes du quotidien crasse et en créant de petites intrigues savoureuses qui démontrent à quel point la sous-traitance demeure la clé du succès.

Pour devenir riche, note-t-il, il faut «exécuter des tâches en Inde pour les Américains via le téléphone. Tout en dépendait: l’immobilier, la richesse, le pouvoir, le sexe.»

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320 pages, 21 

 

 

Michael Wigge is on an adventure of a lifetime. The reporter and journalist has traveled to many countries before, but this time he decided to make it more challenging: he would travel twenty-five thousand miles around the world by foot, bus, train, ship, and plane and not spend any of his own money.

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The journey was full of challenges: What would he eat? Where would he sleep? How would he get from place to place? Every day, those questions occupied his thoughts, but he always came up with creative solutions. He tried dumpster diving, eating flowers, couch surfing in the homes of strangers, sleeping under the stars, working on a container ship to cross the Atlantic Ocean, offering to pillow fight strangers for a dollar, and after 150 days, he reached his destination. For this, Elite World Records named him the First Person to Travel the World Penniless, and the documentary he filmed about this trip won best feature in the 2011 Accolade Awards.

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As much a guide as a travelogue, How to Travel the World for Free will give readers ideas for alternative ways of traveling and will inspire many to go on new adventures. This book is full of surprises, some more pleasant than others. Nevertheless, it’s a journey you won’t want to miss! Traveling can be expensive—why not do it for free?

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